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« Dans de nombreux temples en Inde, on voit représenté le symbole
de Shiva, le lingam, une tige dressée sur un support horizontal.
Ceux qui commentent ce symbole ne s’arrêtent souvent qu’à
la tige dressée qui représente le phallus, l’organe de la
génération, le principe masculin. En réalité, il faut aussi
tenir compte de la base horizontale qui représente le principe
féminin. Le principe masculin, c’est l’esprit qui travaille
sur le principe féminin, la matière. Toute la création n’est
que le résultat du travail de ces deux principes, c’est
pourquoi dans la pratique spirituelle on ne doit pas non plus les
considérer séparément.
En Inde encore, on rencontre des hommes et des femmes qui ont un
point rouge peint entre les deux sourcils. C’est là, entre les
deux sourcils, que se situe Ajna chakra qui est le centre de la
clairvoyance, de la vision spirituelle. Mais celui qui se
concentre sur ce chakra, qui est réceptif, féminin, doit aussi
se concentrer sur le chakra Sahasrara, situé au sommet du
crâne, qui est, lui, émissif, masculin. En réunissant ces deux
principes, il devient le lingam vivant. »
Dans quelle partie du monde l’infidélité fait-elle le plus de ravages? Qui utilise des jouets au lit? Plus glauque: où les viols sur les enfants sont-ils les plusfréquents? Des géographes français ont tenté de répondre à ces questions via un Atlas mondial de la sexualité.
Législation, stratégie matrimoniale, prostitution, violence…: cartes à l’appui, leur ouvrage retrace l’évolution des comportements sexuels à travers le monde en compilant enquêtes, études et chiffres.
«La sexualité est partout sur les murs de nos villes et nos écrans, pour le meilleur et pour le pire», affirme Nadine Cattan, directrice à l’Institut national de la recherche. «Nous avons voulu étendre notre étude au monde entier pour essayer d’y voir un peu plus clair», ajoute-t-elle après 18 mois d’enquête.
L’Atlas se penche sur plusieurs domaines comme «la transition sexuelle et amoureuse» en cours en Europe qui va de pair avec une infidélité en forte croissance.
En utilisant des données qui proviennent de cinq pays européens et des 1,5 million d’adhérents du site Gleeden — un site de rencontres pour des femmes ou des hommes mariés -, l’Atlas classe par exemple Paris en tête du palmarès des villes infidèles.
D’après ces données, plus de la moitié des goujats qui mentent à leur partenaire affichent un niveau d’éducation supérieure, et 22% d’entre eux travaillent dans la banque, la finance ou l’assurance. Pourquoi l’infidélité? Réponse la pluscourante: le besoin d’éprouver son pouvoir de séduction.
Dans son chapitre sur les couples, l’Atlas explore aussi les méandres des habitudes sexuelles: fréquence des rapports, degré de satisfaction.
Grèce, Pologne et Brésil au top
En Grèce, Pologne ou au Brésil, environ 80% de la population pense que le sexe est important, alors que ce taux tombe à 38% au Japon et en Thaïlande.
En Europe, les Britanniques, Norvégiens et Suédois se présentent comme lesplus grands amateurs de jouets pour adultes, d’après l’Atlas, alors que les pays du sud de l’Europe affichent un intérêt plus relatif pour ces accessoires.
Explorant la face sombre des obscurs objets du désir, l’Atlas recense aussi des statistiques sur la prostitution, la violence sexuelle, les discriminations et les abus sur mineurs.
Surprise: terre présumée d’égalité hommes/femmes, la Suède affiche le plus fort nombre de plaintes pour viols — 53,2 pour 100.000 habitants en 2008 -, sans doute parce que la définition juridique du viol dans ce pays est bien plus large que dans d’autres législations.
Espoir: bien des pays ont pris des mesures pour faire face au harcèlement sexuel, par exemple des lignes de bus réservées aux femmes au Mexique, et des initiatives semblables dans des villes au Brésil, en Egypte, au Japon.
Mais en Europe, seulement 14% des plaintes pour viols conduisent à une condamnation, selon le bureau des Nations unies pour les drogues et les crimes.
C’est en Irlande du nord qu’il y ale plus d’abus sexuels sur mineurs
En Europe toujours, l’Irlande du Nord détient le triste record en 2008 des abus sexuels sur mineurs, selon cette même source.
La prostitution et la pornographie font l’objet d’une attention particulière des auteurs de l’Atlas. Un chiffre: 98% de la pornographie vient des Etats-Unis et la Russie, la Hongrie et la République tchèque se partagent les restes de ce «marché» de la chair triste.
Le commerce du sexe a parfois des conséquences inattendues. Il provoque ainsi des dégâts sur la biodiversité, en raison de la fabrication des aphrodisiaques à base d’éléments naturels…
Les rhinocéros ont été particulièrement frappés en raison de la croyance selon laquelle leurs cornes sont des aphrodisiaques puissants. L’animal est décimé en Afrique. La demande est telle que des voleurs ont volé des cornes par dizaines dans des musées, des zoos ou d’autres institutions en Europe et en Afrique du Sud.
L’Atlas mondial des sexualités, de Nadine Cattan et Stéphane Leroy, Editions Autrement
Je suis arrivé à l’adresse et j’ai klaxonné. Après avoir attendu quelques minutes, je klaxonne à nouveau. Comme il s’agissait de ma dernière course de la journée, je pensais partir, mais finalement je me suis stationné et puis je me suis dirigé vers la porte et j’ai toqué.
« Juste une minute », a répondu une voix de personne âgée. Je pouvais entendre quelque chose qui traînait sur le plancher.
Après une longue pause, la porte s’ouvrit. Une petite femme de 90 ans se tenait devant moi. Elle portait une robe imprimée et un chapeau à voilette, ressemblant à un personnage de film des années 1940.
À côté d’elle il y avait une petite valise en nylon. L’appartement semblait comme si personne n’avait vécu dedans depuis des années. Tout le mobilier était recouvert de draps.
Il n’y avait pas d’horloge sur les murs, pas de bibelot ni aucun ustensile sur les comptoirs. Dans un coin il y avait une boîte en carton remplie de photos et de verrerie.
« Pourriez-vous porter mon bagage jusqu’à la voiture? » dit-elle. J’ai porté la valise jusqu’à mon véhicule, puis suis retourné aider la femme.
Elle prit mon bras et nous avons marché lentement vers le bord du trottoir.
Elle n’arrêtait pas de me remercier pour ma gentillesse. « Ce n’est rien », je lui ai dit « J’essaie simplement de traiter mes passagers de la façon dont je voudrais que ma mère soit traitée. »
« Oh, tu es un bon garçon », dit-elle. Quand nous sommes arrivés dans la voiture, elle m’a donné une adresse, puis demanda: « Pouvez-vous passer par le centre-ville? »,
« Ce n’est pas le plus court chemin », répondis-je.
« Oh, cela ne me dérange pas », dit-elle. « Je ne suis pas pressé. Je me rends au centre de soins palliatifs. »
J’ai regardé dans le rétroviseur. Ses yeux scintillaient. « Je n’ai pas de famille » reprit-elle d’une voix douce. « Le docteur dit que je n’en ai plus pour très longtemps. » J’ai discrètement arrêté le compteur.
« Quelle route voudriez-vous que je prenne? » Demandai-je.
Pendant les deux heures qui ont suivi, nous avons roulé à travers la ville. Elle m’a montré le bâtiment où elle avait travaillé comme opérateur d’ascenseur.
Nous avons traversé le quartier où elle et son mari avaient vécu quand ils étaient jeunes mariés. Elle m’a fait arrêter devant d’un entrepôt de meubles qui était à l’époque une salle de bal où elle était allée danser lorsqu’elle était jeune fille.
Parfois, elle me demandait de ralentir en face d’un bâtiment particulier ou dans un coin et s’asseyait le regard perdu dans l’obscurité, sans rien dire.
Lorsque le soleil commença à rejoindre l’horizon, elle dit soudain: « Je suis fatiguée j’aimerai que nous y allions maintenant ».
Nous avons roulé en silence à l’adresse qu’elle m’avait donnée. C’était un petit édifice, comme une petite maison de convalescence, avec un portique pour rentrer dans une allée.
Deux infirmiers sont sortis et se sont dirigés vers le taxi. Ils étaient très attentionnés et surveillaient tous les mouvements de la vieille dame. Visiblement ils attendaient son arrivée.
J’ai ouvert le coffre et porté la petite valise jusqu’à la porte. La femme était déjà assise dans un fauteuil roulant.
« Combien vous dois-je? » M’a-t-elle demandé, en ouvrant son sac.
« Rien » lui dis-je.
« Vous devez gagner votre vie », répondit-elle.
« Il y aura d’autres passagers, » ai-je répondu.
Presque sans y penser, je me suis penché et lui ai donné une accolade. Elle me serra fort.
« Vous avez donné un petit moment de joie à une vieille dame », dit-elle. « Je vous remercie. »
Je lui serrai la main, et me retournai. Derrière moi, une porte a claqué, c’était le bruit d’une vie qui se termine.
Je n’ai pris aucun passager le reste de ma course. J’ai conduit sans but perdu dans mes pensées.
Je n’ai pratiquement pas parlé le reste de la soirée. Que se serait-il passé si cette femme avait eu à faire à un chauffeur en colère, ou à quelqu’un d’impatient et pressé ? Et si j’avais refusé de prendre la course, ou avais klaxonné plusieurs fois, puis parti sans attendre ?
Après réflexion, je ne pense pas avoir fait quelque chose de plus important dans ma vie.
Nous sommes conditionnés à penser que nos vies tournent autour de grands moments. Mais les grands moments sont souvent des jolis petits instants auxquels nous ne prêtons pas assez attention.»
Les départs et les retours de vacances virent souvent au cauchemar à cause des kilomètres de bouchon. La société américaine Terrafugia a mis au point une voiture volante : la Transition Les ingénieurs ont conçu un modèle compact. La voiture mesure 6 m de long, 2,3 m de large et fait 2 m de haut.
En Virginie, un jeune homme de 19 ans est passé à deux doigts de mourir après un défi stupide lancé par ses amis : boire un maximum de sauce soya. Amusé par l’idée, l’adulte s’est prêté au jeu. Toutefois, après avoir avalé le quart de la bouteille, il s’est affalé, pris de violentes convulsions. Le taux de sodium dans son organisme était beaucoup trop élevé. Sans l’intervention rapide des ambulanciers qui ont transporté la victime au centre médical de l’Université de Virginie, cette expérience n’aurait pas connu le même dénouement.
« Il ne répondait à aucun stimuli. Il présentait des signes de clonus musculaire, qui ne sont que des réflexes. C’est un signe que le système nerveux en général ne fonctionne pas très bien », a raconté le docteur David J. Carlberg. Heureusement pour le buveur de sauce soya, les professionnels de la santé prédisent un rétablissement complet et sans séquelles. Afin de sauver la vie du patient dont le cerveau risquait de ne plus fonctionner en raison du sel présent dans l’organisme, les docteurs ont infusé une solution à base de sang et d’eau dans son sang : 5,7 litres environ au total. La victime est demeurée dans le coma pendant une semaine. Aujourd’hui, elle est réveillée et espérons qu’elle tirera une leçon de ce défi idiot.
L’industrie des armes voit les enfants comme des consommateurs !
Selon des sondages du National Opinion Research Center de l’université de Chicago, le pourcentage de foyers américains possédant une arme a chuté de 40% entre 1977 et 2010. Parmi ses efforts pour inverser la tendance, l’industrie des armes à feu se donne beaucoup de mal pour convaincre les enfants d’adopter la culture des armes.
Voici comment.
L’industrie des armes a conscience que les enfants sont l’assurance d’un profit à long terme
En 2008, la National Shooting Sports Foundation (NSSF), le principal regroupement industriel de l’industrie de l’armement, a lancé une initiative appelée TaskForce 20/20, conçue pour augmenter de 20% en cinq ans le nombre de chasseurs et de tireurs sportifs. Recruter et conserver des jeunes tireurs fait partie du programme.
Dans le compte-rendu du groupe de travail, la recommandation n°22 incite par exemple les fabricants d’armes et les propriétaires de stands de tir à « promouvoir les programmes pour la jeunesse, importants parce qu’ils font démarrer le tir à un jeune âge ».
On encourage les enfants à associer armes à feu et divertissement
La National Rifle Association (NRA) a achevé sa conférence annuelle en mai par un « Jour de la jeunesse« , promettant « des expositions spectaculaires » pour les plus jeunes. Les participants ont également reçu six mois d’adhésion gratuite à la NRA et la possibilité de tirer avec des Airsoft guns -des répliques détaillées de pistolets à air comprimé qui tirent des balles en plastique- dans un certain nombre de stands.
Les enfants ont leurs propres magazines d’armes à feu.
En 2008, la NRA a aussi lancé un magazine numérique appelé InSights, réalisé pour s’adresser directement aux enfants. « Nous sommes très fiers et excités de présenter ce site aux jeunes américains », avait déclaré à l’époque le directeur des publications de la NRA, Joe Graham. « Comparé à d’autres sites internet conçus pour le jeune public,NRAInSights.org se veut le plus complet et le plus ludique. »
L’année précédente, la United States Practical Shooting Association avait lancé Junior Shooters, un magazine financé par l’industrie à destination des jeunes « en priorité âgés de 8 à 21 ans ». Le magazine propose des articles à propos de jeunes membres des communautés de chasse et de tir sportif, ainsi qu’une grosse quantité de publicités venant de divers groupes et entreprises de l’armement.
Les publicités pour les enfants finissent parfois par ressembler plutôt à des pubs pour des jouets
Il n’y a pas que la NRA et les regroupements industriels qui ont les enfants en ligne de mire. Les fabricants d’armes les ont aussi pris pour cibles, en réalisant des publicités qui ressemblent à des pubs pour jouets. Celle ci-dessous est pour une arme Crickett, une carabine calibre .22 taille enfant.
Une autre entreprise, Savage Arms, fabrique le Rascal, une carabine disponible dans toutes les couleurs pour convenir à tous les goûts.
Mais des accidents se produisent également
Une tragédie a récemment frappé Burkesville (Kentucky), quand un enfant de 5 ans a pris la carabine calibre .22 qui lui avait été offerte et a accidentellement tiré, tuant sa soeur de deux ans. Ses parents ont déclaré ne pas avoir réalisé que la carabine Crickett de l’enfant, qui était rangée à sa portée, était encore chargée.
Bien que les incidents impliquant des enfants ne constituent qu’un petit pourcentage des accidents de tirs -qui ont causé 851 morts aux USA en 2011, selon un rapport des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies-, on en entend fréquemment parler aux informations outre-Atlantique. En avril, en une semaine, deux enfants de 4 ans ont été impliqués dans des tirs mortels, l’un tuant une femme de 47 ans, l’autre un enfant de 6 ans. Selon un récent décompte par Mother Jones, des enfants de moins de 17 ans ont causé cette année la mort de 29 enfants de 12 ans et moins par tir accidentel.
Les tirs non mortels impliquant des enfants sont eux bien plus courants. la radio NPR a ainsi rapporté ce mois-ci que chaque année, plus de 3000 enfants sont soignés aux urgences pour des tirs accidentels.
Dans certains cas, les enfants étaient familiers des armes impliquées. D’autres fois, ils ont eu accès à des armes qui appartenaient à d’autres. Une étude d’Harvard a ainsi établi que 40% des foyers américains possédant une arme les rangent à portée de leurs enfants et que 22% des enfants dont les parents détiennent une arme ont tenu dans leurs mains un pistolet sans que les parents soient au courant.
Quand on décide de suivre une série à deux, c’est parfois très tentant de regarder le dernier épisode en douce sans sa moitié, car les cliffhangers ne manquent pas et le web nous les offre sur un plateau. Le New York Magazine appelle cette nouvelle trahison des temps modernes le « Netflix Adultery », du nom du fameux site de streaming, qui pourrait bientôt débarquer chez nous.
D’après une étude récente menée par Harris Interactive, 28 millions d’Américains (12% de la population) ont confessé qu’ils avaient déjà « trompé » leur partenaire pour connaître la suite de leurs séries favorites. Certains vont même jusqu’à feindre l’étonnement quand ils revoient un épisode en couple pour la deuxième fois.
Les hommes seraient les plus infidèles et regardent généralement leur programme en streaming quand ils sont seuls à la maison, quand leur partenaire dort ou alors au boulot. Ce phénomène se produit davantage chez les jeunes couples, mais ils sont plus susceptibles de dire finalement la vérité, contrairement aux couples plus âgés qui ne veulent pas se disputer à ce sujet.
Le sondage urinaire, très fréquent chez les patients hospitalisés, est à l’origine d’un nombre important d’infections nosocomiales. Pour en réduire le risque, certains ont proposé d’instaurer une prophylaxie antibiotique systématique au moment du retrait de la sonde mais une étude réalisée en 2004 montrait une grande variété de pratiques en la matière. Et pour cause : il n’existe pour le moment aucun consensus. La prophylaxie antibiotique systématique serait à l’origine d’une augmentation considérable de l’utilisation des antibiotiques par les hôpitaux, puisqu’il semble que 20 % au moins des patients hospitalisés auront à un moment ou un autre de leur séjour une sonde urinaire. Le coût de tels traitements, leurs effets indésirables, le développement de résistances, autant d’inconvénients potentiels des antibiothérapies prophylactiques, qui justifient que l’on s’attarde sur la question.
Une revue systématique de la littérature et une méta-analyse reprennent les résultats de 7 études évaluant l’efficacité d’un traitement prophylactique administré la veille ou au moment du retrait de la sonde urinaire chez des patients hospitalisés, en chirurgie pour 5 des études.
L’analyse retrouve une réduction significative des infections urinaires symptomatiques avec l’antibiothérapie prophylactique (risque relatif : 0,45 ; intervalle de confiance à 95 % : 0,23 à 0,86), avec 1 infection urinaire évitée pour 17 patients traités. Il existe toutefois une hétérogénéité dans les études retenues concernant l’antibiotique prescrit : ciprofloxacine, triméthoprime/sulfaméthoxazole, nitrofurantoïne ou céphalosporine. Hétérogénéité aussi en ce qui concerne la durée des traitements, qui sont administrés pour des périodes allant de 4 jours à 6 semaines. Un consensus semble donc encore loin. Il persiste aussi les réserves mentionnées plus haut concernant notamment le coût supplémentaire induit par de tels traitements et surtout les risques d’apparition de résistances auxquels ils exposent.
Selon les auteurs, ces inconvénients pourraient être limités en réservant l’antibiothérapie prophylactique aux patients à risque d’infection urinaire. Reste toutefois à établir les critères d’identification de ces patients.
Dr Roseline Péluchon
Marschall J et coll. : Antibiotic prophylaxis for urinary tract infections after removal of urinary catheter: meta-analysis. BMJ 2013;346:f3147doi: 10.1136/bmj.f3147